Lettre #10

Les jeunes et les moins jeunes !

 

C’est la rentrée. Encore une rentrée pas comme les autres.


C’est d’abord vers les enfants et les jeunes que se portent mes préoccupations. Pour eux qui cherchent leur place, tout est plus difficile avec cette crise sanitaire et sociale qui nous affecte toutes et tous. Les nourritures éducatives sont rabougries malgré les efforts des personnels. L’entrée dans le monde du travail est d’autant plus délicate. Et la fête que devrait être cette période de la vie est rabougrie. Nous devons prendre soin de cette jeunesse et de sa quête de bonheur. 


Pour cela, il faut faire de l’école de la République une priorité. Et il n’y a pas de secret, cela passe par l’humain. C’est ainsi qu’on lui donnera les moyens de l’épanouissement de chacune et chacun. Pour que nos enfants puissent trouver leur voie et trouver leur place, l’école de la République est indispensable, même si elle ne peut pas à elle seule solutionner tous les problèmes de la société : il faut également développer les services publics qui nous permettent de vivre ensemble et ne pas laisser la haute-finance organiser la vie économique et sociale (comment passer sous silence l’explosion des inégalités qui se poursuit, comme en témoignent les augmentations de revenus de 40% des dirigeants du Cac 40….).

Il m’est arrivé parfois, en disant cette préoccupation à l’égard des plus jeunes, d’entendre que les autres aussi méritent le soin et l’attention. C’est vrai. Le mal-vivre se rencontre dans toutes les générations. C’était d’ailleurs le projet de la sécurité sociale de protéger les femmes et les hommes tout au long de la vie. Donc, il vaut mieux le préciser : prêter attention à notre jeunesse, ce n’est pas oublier les aînés, pas plus que les salariés ou les chômeurs. C’est d’autant plus essentiel que j’ai beaucoup entendu de discours opposant les générations, souvent pour organiser la casse sociale.

A l’aube de cette nouvelle année scolaire, je suis préoccupé par les divisions et les fractures qui traversent notre société (et la gestion de la crise par le gouvernement y a encore ajouté). C’est pourquoi j’insiste sur la nécessité de faire du commun. L’avenir, c’est avec les jeunes et pas sans eux, mais c’est avec chacune et chacun de nous. Réfléchissons-y, avec le souci de l’intérêt général. Pour dépasser les épreuves, faisons des rêves et des projets en commun.


Vous pouvez compter sur moi pour continuer à porter votre voix et à faire des propositions. Vous connaissez mon attachement à faire la politique avec vous et à rendre des comptes. Cette lettre reprend un certain nombre des initiatives que j’ai prises et vous informe sur les travaux en cours, dans le grand foisonnement de l’actualité.

 

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La fabrique du commun

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